Merci GD

L' homme de l' ombre qui met le club en lumière.

La création d’un outil exceptionnel

Kevin Trapp n’est pas qu’un parfait inconnu pour le grand public. Ni un simple gardien de but. Il est surtout le premier joueur à avoir été recruté par le PSG grâce à un outil nouveau. Un outil unique à l'entité parisienne, recensant des milliers de joueurs venus du monde entier et incluant une batterie d’aspects : physique, technique, tactique et psychologique. Kevin Trapp, supervisé depuis plus de neuf mois par le club, a été recruté selon tous ces critères.

Cet outil, qui nécessite un travail de longue haleine et était une volonté du président Nasser Al-Khelaifi, est conçu et évolue sous la direction du directeur sportif adjoint Olivier Létang. Depuis deux ans, le PSG compile des milliers d’informations pour enrichir cet outil. Cela permettra aussi au staff du club de mieux préparer les matches, en se focalisant notamment sur certains joueurs.


Plus de « scouts »

A ce jour, le PSG compte en son sein plus de 24 « scouts », ces fameux recruteurs censés superviser et dénicher les jeunes talents. En deux ans, le club de la capitale en a recruté plus de 16, confirmant ainsi la volonté de ses dirigeants de couvrir toute l’Europe. En clair ? Quand le PSG ira affronter un club européen comme Manchester United, Laurent Blanc et son staff pourront facilement décortiquer les qualités et défauts de l’adversaire ! Un séminaire a été organisé avec tous les recruteurs pour évoquer avec eux les missions futures, les profils des joueurs et leur inculquer la culture « Paris Saint Germain ».

Le PSG va également développer une nouvelle forme de « scouting ». Leurs rapports seront ensuite mixés avec le travail de la cellule vidéo pour un compte-rendu définitif hyper pointu et très poussé. Le PSG compte désormais observer des matches des moins de 15 ans dans toute l’Europe. Ce que jamais aucun club français n’avait fait avant lui.

Ne plus manquer les nouveaux Pogba, Henry ou Trezeguet

Hier, Thierry Henry, Sylvain Wiltord ou encore David Trezeguet. Aujourd’hui, Paul Pogba. Demain, Kingsley Coman ? Paris a longtemps été raillé pour ne pas avoir su conserver ses jeunes talents ou leur donner l’exposition suffisante à leur éclosion. Si le PSG forme de futurs talents, il ne parvient pas à construire avec eux. Pis, à l’image de Coman, il lui arrive encore fréquemment de voir ces éventuelles pépites quitter le nid trop tôt. Une situation que le club de la capitale ne veut plus supporter.

Désormais, Paris n’entend plus rater de joueurs de la région parisienne. Dans cette optique, toutes les catégories à partir de l’excellence seront supervisées. Le PSG compte aussi regarder chez les tous petits, dans les écoles de football notamment. Le club de la capitale imagine même intégrer des enfants dès l’âge de 6 ans dans son école de foot.


Un directeur technique pour créer une culture...

Nasser Al-Khelaifi ne s’en est jamais caché. Le président du PSG rêve de l’Argentin Lionel Messi. Il rêve aussi de révéler, à Paris, un joueur du calibre de la star du Barça. « On veut surtout le nouveau Messi. On ne cherche pas à recruter Lionel Messi, mais on veut investir dans les très grands talents de demain » avait-il affirmé lors de sa prise de fonctions, en 2011. Paris veut donc trouver le nouveau Lionel Messi et… rien de mieux pour cela que de recruter quelqu’un qui est passé par la Masia. C’est ainsi que le PSG va probablement enregistrer la signature de l’ancien directeur de l’école du Barca, Carles Romagosa.

… et développer une véritable identité de jeu

Carlos Romagosa occupera à Paris le poste de directeur technique de la formation. Il sera en charge de la partie technique du PSG, soit à partir des U6 jusqu’aux U20 parisiens. Ce dernier a convaincu l’état-major parisien par son étude et sa culture du football. Toutefois, l’Espagnol n’arrive pas dans l’idée de copier le Barca. Le PSG a un message clair désormais : « le Paris Saint Germain doit créer sa propre culture, son propre style de jeu ». Une politique qui passe aussi par une augmentation de son budget du centre de formation. Aujourd’hui, le budget du PSG dans ce domaine reste mesuré, comparé aux autres ténors européens.

Ne plus négliger le comportement

Paris va renforcer l’intégration d’une donnée non négligeable dans son nouveau modèle de recrutement : le comportement. Désormais, une étude sera faite par des comportementalistes, afin de dresser et d’analyser le profil psychologique des joueurs.

Merci GD

Tu as été plus rapide que moi et il ne manque plus que la décision pour le centre académique.

On commence à voir l'institution PSG, se mettre en place... Ça va faire mal !
La Prince, il a tout d'une grande.

C'est essentiel d'avoir une vrai institution, elle se met en forme, on aura les premiers résultats d'ici une dizaine d'année. Cela prouve que QSI n'est pas venu pour s'acheter une danseuse comme cela a été dit et se disait encore ces derniers mois par nos biens pensants.

BONJOUR CHEZ  VOUS.

En attendant, j'espère qu'on agira pas comme le Real à pu le faire pour ses grands joueurs, le dernier en date Casillas...C'est vraiment honteux !

J'en reviens pas moi-même, je me souviens encore du départ de Rai. A côté le grand Réal a agi en tout petit.

BONJOUR CHEZ  VOUS.

Et ce n'est pas la première fois pour eux...Vraiment nul !

Le Réal depuis la fin des années 80 est devenu une sorte d'équipe à la Harlem Globe Trotters. Le Réal est devenu une machine à faire du fric, pour cela on achète le joueur le plus cher du marché tous les ans, et on ne parle que du Réal. 9 entraîneurs sous l'ère Perez, cela donne une idée de la philosophie du club. Si Sanz ou Mendoza étaient encore Présidents, Santiago Bernarbeu aurait été préparé pour lui avec une conf de presse de la mort. Mais en fait il ne serait même pas parti. 

BONJOUR CHEZ  VOUS.

Mercredi prochain, le PSG reçoit au Parc des Princesle Real Madrid pour une rencontre au sommet de la Ligue des champions. Le Real est le cluble plus riche d’Europe, c’est aussi le plus titréde la compétition. Sur le banc de touche,Laurent Blanc mâchouillera nerveusement sa « touillette » à café. Mais l’entraîneur n’est pas le seul Blanc à veiller sur les joueurs au maillot noir. L’autre ? C’est Jean-Claude, directeur général délégué du Paris Saint-Germain depuis 2011. C’est lui qui l’a hissé dans le peloton de tête des clubs européens. Aujourd’hui, ce Savoyard est considéré comme un des rares managers sportifs à l’anglo-saxonne que possède la France. Un parcours étonnant, sur lequel les étoiles semblent s’aligner à la demande.

Car Jean-Claude Blanc sait provoquerla chance. Premier coup de bol au John Wayne Tennis Club de Palm Beach, en 1986. Une partie en double avec un dentiste de Los Angeles ; le pot de l’amitié avec les adversaires. « Que venez-vous faire en Californie ? », demande l’un d’eux. « Recueillir des informations sur l’organisation des JO de Los Angeles », répondu tac au tac le jeune Français, tout frais émoulu du Ceram (devenu Skema), l’école supérieure de commerce de Nice. « Vous avez de la chance, poursuit l’Américain, je suis l’ex-directeur du marketing des Jeux. » Tout va très vite, comme souvent dans la carrière de Jean-Claude Blanc. Une seule recommandation et s’ouvrent en grand les portes de la LA84 Foundation, qui conserve les archives des premiers JO financés par le privé. Une mine d’or pour le jeune homme, qui n’a depuis un an qu’une ambition : rejoindre le comité d’organisation des Jeux olympiques (Cojo) d’hiver 1992, à Albertville.

A son retour en Savoie, sa déterminationet le gros mémoire qu’il a rédigé sur le business olympique le font engager sans coup férir.Son rêve d’adolescent – associer sa passion pour le sport à sa vie professionnelle – prend forme.Il vacille toutefois quand Juan Antonio Samaranch, le tout-puissant président duComité international olympique, appelleaux commandes Jean-Claude Killy, artisan de la candidature française aux côtés du politique Michel Barnier. Le triple champion olympique de Grenoble 1968 et son associé Alain Krzentowski veulent repartir de zéro avec IMG, l’agence de Mark McCormarck, pionnier du sport business. Jean-Claude Blanc va-t-il devoir quitter le navire ?




Non, grâce à une bonne fée : Fabienne Fajgenbaum. L’avocate du Cojo a remarqué sa puissance de travail et sa « profondeur d’esprit ». Jean-Claude Killy ne tarde pas à partager son avis. « Il travaillait jour et nuit et répondait toujours présent, se souvient-il. Au bout de deux mois, je lui ai demandé pourquoi il était le moins bien payé. Pour le piquer,je lui ai dit : comment voulez-vous être un grand négociateur si vous n’avez même pas été capable de négocier votre salaire ? »

L’aiguillon fonctionne. Simple responsable du sponsoring parmi d’autres, l’ancien étudiant niçois finit par remplacer Ian Todd, le directeur Europe d’IMG, appelé ailleurs. En pleine constitution du Club Coubertin, qui réunira les plus gros sponsors : la SNCF, Renault, le Crédit Lyonnais ou encore les AGF, Killy impose le jeune Savoyard bosseur, au nez et à la barbede quelques HEC parisiens. L’ancien champion a des méthodes très pragmatiques.On enchaîne les rendez-vous de présentation,à peine de temps d’avaler un sandwich à midi. C’est d’ailleurs au comptoir d’un café, avenue Franklin Roosevelt, à Paris, que Jean-Claude Blanc accepte une mission supplémentaire : organiser la cérémonie d’ouverture des Jeux avec Philippe Decouflé, un jeune chorégraphe inconnu. La cérémonie fera date. Même Michel Platini, le dernier relayeur de la flamme, tiendra le tempo, malgré son retard et la dizaine de cigarettes grillées avant d’empoigner la torche ! Jean-Claude Blanc montre des talents d’organisateur que seuls ses condisciples du Ceram lui connaissaient. « A la stupéfaction générale, il avait réussi à organiser deux spectacles pour financer le bureau des sports, avec Alex Métayer et Michel Jonas », se souvient l’un d’eux.

Après les Jeux, Killy lui propose de le suivre chez ASO, l’organisateur du Tour de France. Mais le jeune homme, qui devient peu à peu son fils spirituel, rêve d’une grande université de la côte Est. Peut-être, malgré la belle expérience d’Albertville, ne se sent-il pas assez armé. « A Nice, ce n’était pas un étudiant brillant, rappelle un camarade. C’était plutôt le séducteur élégant, prof de tennis et de planche à voile. Le Popeye des Bronzés. » Jean-Claude Blanc mise tout sur la prestigieuse Harvard, une université très sélective. Et réussit son coup de poker. Il avait aligné, il est vrai, trois lettres de recommandation de tout premier ordre : Jean-Claude Killy, Juan-Antonio Samaranch et Mark McCormack. Un comble quand on sait que le dernier a signé un best-seller :  Tout ce que vous n’apprendrez jamais à Harvard !

L’ancien « roi de la plage » de Nice se mue alors en élève assidu et décroche son MBA. Le monde des affaires s’ouvre à lui, mais il choisit tout de même de rejoindre ASO et Killy. Car c’est un fidèle. Fidèle à ses parents d’abord. A sa mère, Nicole, qui a fait de lui un bon tennisman et un bon skieur. A son père, Roger, le dentiste qui, inventeur à ses heures d’instruments de travail innovants, n’a jamais découragé les ambitions de ce fils qui ne se voyait pas reprendre le cabinet. Fidèle à Jean-Claude Killy, ensuite. Lorsque ce dernier claque la porte d’ASO, estomaqué par les critiques de Jean-Pierre Courcol, revenu aux commandes du groupe Amaury, la maison mère d’ASO, Jean-Claude Blanc refuse de le remplacer et choisit de partir. Il s’émancipera à la Fédération française de tennis (FFT).




Le monde du sport business est petit. Quand Patrice Clerc, patron de Roland-Garros, part pour rejoindre ASO, Christian Bîmes, président de la FFT, appelle d’abord Killy pour lui proposer le poste. Mais le champion décline l’offre. Il ne veut plus d’un « full-time job » à Paris. Cette fois, Blanc accepte de prendre la place. En cinq ans à la FFT, il augmente les revenus de plus de 30%. Un succès éclatant qui en fait le « monsieur tennis » français. Cela ne l’empêchera pas de céder aux sirènes du football. Après tout, c’est le cœur de la machine « sport business ». Encore fallait-il rencontrer une sirène. Ce sera, au cours d’un dîner à Marrakech, John Elkann, l’héritier Agnelli. Jean-Claude Blanc lui raconte le village de Roland-Garros, l’art de recevoir et de gérer des « business seats ». Quelque temps plus tard, ils se recroisent au Flore, à Paris. Le jeune homme, qui contrôle l’empire Fiat, lui propose alors la direction de la Juventus de Turin, propriété familiale. Le temps d’aider Christian Bîmes à se faire réélire, Jean-Claude Blanc s’envole pour la capitale du Piémont.

Las, deux semaines après son arrivée, la mission se transforme en sauve-qui-peut. Son prédécesseur, Luciano Moggi, a corrompu des arbitres. La Juve est reléguée en Serie B. Turin est en ébullition. « J’avais 100 jours pour redresser la situation », se souvient le Français, qui vivra un an et demi avec un garde du corps. Cette fois, la guigne semble au rendez-vous. Sauf que Jean-Claude Blanc a plus d’un tour dans son sac. La gestion de crise, il connaît. En 1998, en tant que directeur d’ASO, il a géré le scandale Festina qui ébranla le Tour de France. Son presque homonyme, Jean-Marie Leblanc, le patron du Tour, est mis en garde à vue. Des équipes exclues, des perquisitions, les coureurs qui mettent pied à terre… L’une des plus belles compétitions sportives du monde se transforme d’un coup en chef-d’œuvre en péril. Sous sa houlette, elle en ressortira plus forte encore. En 2000, face à la menace terroriste qui pèse sur le Dakar, il transfère 150 voitures du rallye-raid du Nigerà la Libye par pont aérien. « J’ai appris de l’affaire Festina qu’aucune organisation n’est à l’abri d’une disparition. J’ai appris aussi à rester froid, analytique, et à prendre des décisions même sans avoir 100% d’informations fiables », raconte-t-il aujourd’hui.




A Turin, il renégocie les contrats et engage Didier Deschamps comme entraîneur. Le club rejoint l’élite en une saison. Jean-Claude Blanc peut alors construire le nouveau stade dont rêve John Elkann. Le job est fait, et bien fait, de nouveau. Mais le petit-fils de Gianni Agnelli veut confier la Juve à son cousin Andrea. Le Savoyard se retire, six ans après son arrivée, sans ciller. « Il est droit et honnête », affirme Christian Bîmes. « Intègre », renchérit Jean-Claude Killy. « Déférent », disent ceux qui le trouvent trop affable…

Ciao l’Italie et retour à Paris, mais via…le Qatar. A nouveau, Jean-Claude Blanc estau bon endroit au bon moment. Leonardo, populaire défenseur du club parisien devenu directeur sportif du PSG passé sous pavillon qatari, lui téléphone. Le Brésilien, qu’il a croisé quand il entraînait le Milan AC, grand rival de la Juve dans le Calcio, lui souffle que le PSG cherche un patron opérationnel. Bingo ! Le nouveau directeur général délégué s’occupe de tout, sauf des joueurs : gestion du stade, relations extérieures, sponsoring, produits dérivés, finances… Sous la présidence de Nasser Al-Khelaïfi, Blanc quintuple le budget du club ! Grâce aux sponsors qataris mais aussi en dotant le Parc des Princes de 4 500 « business seats » qui rapportent gros et permettent au PSG d’échapper au carcan du « fair-play financier » décrété par Michel Platini, le relayeur d’Albertville devenu président de l’UEFA. Avec les Qataris, jaloux de leurs prérogatives d’actionnaires, comme auparavant avec les élus de la FFT et les familles Amaury et Agnelli, « JCB » sait « faire passer les messages avec diplomatie », selon l’expression de Christian Bîmes. Agé de 52 ans, père de deux ados, Jean-Claude Blanc rêve désormais d’autres grandes aventures. Tout le désigne pour diriger les Jeux de 2024, si Paris les obtient. L’aventure le tente. « Mais il ne serait que numéro trois derrière des politiques et des sportifs », analyse Jean-Claude Killy. Et « JCK » d’ajouter : « Je le verrais mieux redresser Air France ! »

Citation :

LE « CARRÉ » DES VANITÉS
C’est l’un de ces cercles fermés qui confère à ses membres le sentiment d’être arrivés.... Moins formel que le dîner du Siècle,le Carré du Parc des Princes est pourtant l’un des vrais lieux de pouvoir de la capitale. Les propriétaires qataris du PSG ne s’y trompent pas, qui gèrent personnellement, à commencer par le président, NasserAl-Khelaïfi, la liste des invités, avec un art consommé de la diplomatie – surtout politique –et du protocole. Il y a les habitués. Les anciens présidents du club, comme le publicitaire Alain Cayzac, le financier Laurent Perpère, de l’époque Canal+, ou bien Robin Leproux, l’ex-dirigeant de RTL et de M6, qui a chassé les hooligans. Quelques stars et sportifs passionnés de foot : Patrick Bruel, Teddy Riner, Yannick Noah... Et les politiques : Nicolas Sarkozy, toujours assis aux côtés de Nasser Al-Khelaïfi, Anne Hidalgo, la maire de Paris, et Nathalie Kosciusko-Morizet (surtout pendant la campagne municipale), des ministres à la pelle, parfois le Premier, des ex-ministres de l’ère Sarkozy...Un groupe hétéroclite auxquels s’ajoutent les sponsors, que les nouveaux maîtres des lieux prennent soin d’enrober d’une bonne couche de « people »,si possible à l’aura internationale : David Beckham, Beyoncé et Jay-Z, Rihanna, etc. Un mix entre la reconnaissance des racines du club, l’entretien d’influences utiles et la construction d’une image marketing mondiale.

Citation :

UN PARCOURS PLURIDISCIPLINAIRE
1963 Naissance à Chambéry.
1985 Diplômé de Skema (Nice)
1987 – 1992 Responsable marketing, puis directeur marketinget responsable des cérémonies d’ouverture et de clôture des Jeux Olympiques d’hiver d’Albertville.
1992-1994  MBA de la Havard Business School
1994 – 2000 Directeur général délégué puis directeur général d’ASO (Amaury Sport Organisation), propriétaire et organisateur du Tour de France et du Dakar.
2001 – 2006 Directeur général de la Fédération française de tennis et du tournoi de Roland-Garros.
2005 – 2011 Administrateur délégué et directeur général puis président de la Juventus de Turin.
Depuis 2011 Directeur général délégué du PSG (football et handball).

Impressionnant ce bonhomme, il paye pas de mine, il est discret mais il réussit à tout ce qu'il touche!

Clairement la meilleure recrue du psg...

Incroyable le CV du Gus !
Et en plus, hyper discret...
Vous imaginez, de 24 à 29 ans, responsable MKT de la cérémonie d'ouverture des JO !!!
A cet âge là, j’essayais d'économiser pour m'acheter des nouveaux pots d'échappement tip top pour ma mob de l'époque...

Faudrait pas perdre ce bonhomme

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Léo a l'air de ne pas s'être trompé dans le choix de son successeur.

Ça fait plaisir car je n'y croyais pas trop non plus.
Il faut croire que les bons éléments ne sont pas qu'à l'étranger.

Football: 35 clubs italiens soupçonnés d'évasion fiscale

Des perquisitions seraient actuellement en cours chez 64 personnes accusées d’évasion fiscale et de fausses factures dans le foot italien...


C’est le séisme annuel offert par la belle et grande maison du football italien. Pas d’histoire de matchs truqués cette fois-ci, mais une sombre affaire d’évasion fiscale sur le dos du fisc à propos de plusieurs transferts réalisés ces dernières années par plusieurs clubs de Série A.

64 personnes impliquées dans le scandale

Selon le quotidien La Stampa, des perquisitions seraient en cours chez 64 personnes impliquées dans le scandale, auquel seraient mêlés Ezequiel Lavezzi (c’est son transfert de Naples au PSG aui aurait permis de commencer l’enquête) et le directeur sportif du PSG Jean-Claude Blanc, du temps où celui-ci occupait les mêmes fonctions à la Juventus Turin.
Le quotidien évoque une somme de 12 millions d’euros qui aurait été soustraite au fisc italien sur les transferts de Lavezzi, Crespo, Diego Milito ou Adrien Mutu entre 2009 et 2013.

20minutes.fr

Juste comme ça, Létang est entrain de détruire notre réseau Ile de France pour le centre de formation.

Je m'explique:

On apprend aujourd'hui que Monaco a approché Pierre Raynaud, le responsable recrutement Ile de France. Lui est en conflit avec une personne que Létang a ramené de Lens qui s'appelle Marc Westerloppe.
Si on perd Raynaud, on perd tout son réseau en Ile de France et ça, c'est une énorme connerie.
Le club a intérêt à tout faire pour qu'il reste sinon ça va être la merde pour chopper les pépites d'IDF les prochaines années.

Autant le départ de Reuzeau n'était pas une mauvaise nouvelle, autant celle de Raynaud serait une trés grande perte.

Quand je vous dis qu'on travaille mal.... j'ai le sentiment que ce n'est pas qu'une impression...
et que ce n'est pas juste au niveau de la formation...

L'atlético nous montre qu'avec un budget 2 fois moindre on peut etre bien plus performant ...
et l'atlético ce n'est pas seulement Simeone... Ils recrutent toujours tres bien depuis une décennie.
Siméone peut partir le club continuera.

le départ de Raynaud (très attaché au club) en dirait long sur la perception des hommes de la formation sur Létang, pour eux il est tout simplement incompétent.

Je ne connais pas le milieu de la formation mais est-ce qu'on ratisse si bien l'idf que ça ?

On prend ce qui se fait de mieux en IDF chaque année, après c'est sûr qu'il y en a qu'on loupe. On peut pas prendre tout le monde.

C'est la perte de son réseau perso qui va nous faire mal mais vu le nombre de recruteurs qui sillonnent l'IDF pour le club, je pense que ça le fera quand même si il part mais ça sera plus dur.

Le réseau parisien est vieux et ce n'est pas le top, je peux en parler j'ai travaillé 10 ans dans la pré-formation et le PSG ? Jamais vu dans les clubs où j'ai travaillé. Le PSG se prend pour un Roi il ne se déplace que pour les grand tournoi de fin d'année. Mon fils a été approché par par l'OL, Grenoble, l'ESTAC et sochaux au tournoi de Torcy, le PSG était présent, il a pris les coupes et ils sont partis comme des Princes. Mon fils était dégoutté. 
La vraie formation vous la trouverez dans les villes de banlieue mais pas à St Germain, enfin jusqu'à l'arrivée de QSI. Ils peuvent partir les Rezeau et compagnie, les bons ? ils sont en provinces, c'est eux qui viennent piller la région parisienne, mon grand est parti au Havre faire ses classes et il en a pris plein les yeux. 
Mais tout va changer au PSG, cela a déjà changé, on le voit avec la dernière génération. Ceux qui se formeront au PSG auront l'identité du club, ce qui n'était pas le cas jusqu'à présent. 
Il fallait voir les critères de merdes il y a encore 2 ans pour ne serait-ce aller en pré-formation au PSG, alors ils peuvent se barrer à Monaco ou en enfer ces tocards. Ceux qui arriveront eux ! ils auront au moins des notes de frais de déplacements à travers le pays, il ne laisseront pas leur gros cul sur leur fauteuil de bureau à attendre que ça vienne tout seul.

BONJOUR CHEZ VOUS.

Après de toute façon, le club a recruté une quinzaine de recruteurs en plus rien que pour la région donc il s'est un peu protégé contre un départ de ce genre.

Mais OUI maintenant le PSG devient sérieux il investi énormément dans la formation, car d'ici 5 ans à 10 ans c'est ce qui fera vivre le club. Comme les autres grands clubs. Le PSG aura les meilleurs jeunes Franciliens, mais il ira aussi les chercher un peu partout sur la planète. Il le fait déjà avec ses Académies PSG. Il faut juste attendre la récolte. 

BONJOUR CHEZ VOUS.

Vu comment il entretien bien les pelouses, sa femme doit être comblé...

Joli !

Bravo à notre ingenieur en herbe...

Il est phénoménal ce type, bravo à lui !

Respect !
2 sites, 2 récompenses.
Et j'aime bien le voir, après les matchs, se balader sur le terrain.
Sacré professionnel !

Dans l'équipe de ce matin, laurent blanc ferait l'éloge en privé de Jean Claude Blanc.

Un homme dans l'ombre mais peut etre le plus important dans le developpement du club.

Merci Léo de l'avoir fait venir....